J'lai dans la peau

Quand j’ai su queYves avait la
maladie de Parkinson, je me suis
dit que c’était foutu, qu’il pourrait
jamais écrire le spectacle qu’il
m’avait promis .
J’avais tort de me faire du mouron : il a
pondu une de ces histoires !
Au début, on y comprend rien,mais à la
fin, on comprend tout.
Y a plein de passages rigolos mais y en a
aussi qui me font pleurer.
Un vrai truc de clown, quoi !
Et en plus, la représentation est suivie d'un
échange « à bâtons rompus » avecYves.
Amédée